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Fountaine Pajot, un bilan solide et des perspectives sous-valorisées

Sur un marché de la plaisance moins bien orienté, cet acteur mondial, positionné sur les segments des catamarans et des monocoques, reste confiant et table sur une nouvelle croissance d'au moins 10% de son chiffre d'affaires. Les estimations de profits pour cette année et 2025 sont valorisées à seulement 9,4 et 7,5 fois tandis que la trésorerie nette au bilan représente les deux tiers de la capitalisation boursière.

Virbac - Pixabay.com

Virbac, quel potentiel?

En léger recul depuis le début de l'année, le titre de cette très belle affaire de santé animale manque de catalyseurs, malgré la publication de comptes annuels d'excellente facture. A 21,7 et 19,3 fois les profits estimés pour cette année et 2025, la valorisation du titre n'a rien d'excessive.

Française de l’Energie sous-valorisée

A la suite de la publication de comptes semestriels décevants en raison de l'indisponibilité pendant une longue période du réseau de transport de gaz GRTgaz, le titre de ce producteur d'énergie à empreinte carbone négative chute lourdement en bourse. Ses perspectives à l'horizon 2026 ne sont pas remises en cause. Face à la sous valorisation du dossier, le groupe lance un programme de rachat d'actions.

Maisons du Monde (2) - Pixabay.com

Maisons du Monde, faut-il croire à la transformation du modèle?

Dans un environnement de consommation sous contrainte, cette célèbre enseigne d'ameublement et d'articles de décoration a choisi de faire évoluer son modèle destiné à mobiliser moins de capitaux en rationalisant son réseau de magasins pour donner la priorité à la rentabilité et à la génération de flux de trésorerie. C'est le pari de la dernière chance. Il est risqué.

Wallix pixabay.com

Exclusive Networks, une belle visibilité encore raisonnablement valorisée

Le titre de ce distributeur d'envergure mondiale de solutions de cybersécurité évolue au plus haut depuis son introduction en bourse à la suite de la publication de comptes annuels supérieurs aux attentes et d'un message de confiance de la direction dans les perspectives pour cette année. Bon marché, le titre est loin d'avoir épuisé tout son potentiel.

Aubay, une abondante trésorerie en soutien

Après deux exercices 2021-2022 record, cet acteur du conseil et de l'ingénierie en haute technologie a vu sa performance se normaliser. Dans un contexte économique plus incertain, l'attentisme des donneurs d'ordre devrait peser sur la première partie de l'année. A 14,6 et 13,1 fois les profits estimés pour cette année et 2025, le titre reste bon marché sachant que l'abondante trésorerie nette de la société représente à elle-seule près de 18% de la capitalisation boursière.

Oeneo pour miser sur la fin du bas de cycle

Le titre de cet acteur majeur de la filière vitivinicole évolue à des planchers proches des niveaux de mars 2020. Pénalisé par une base de comparaison élevée et par l'inflation, le groupe s'attend à une inflexion de tendance sur son dernier trimestre de son exercice 2023/2024. Un nouveau cycle de croissance est sur le point de démarrer. La faiblesse des cours pourrait inciter la famille actionnaire à lancer une nouvelle OPA.

Guerbet - Pixabay.com

Guerbet, encore du potentiel?

Le titre de ce leader mondial de l'imagerie médicale s'offre un impressionnant rebond depuis le début de l'année. Longtemps boudé, le titre reste raisonnablement valorisé.

Sartorius Stedim, jusqu’où la hausse du titre?

Le titre de ce fournisseur mondial pour le secteur biopharmaceutique a fortement rebondi par rapport à ses planchers atteints cet automne. La confirmation d'un retour à une dynamique positive sur les performances financières du groupe et les espoirs d'une baisse des taux directeurs des banques centrales ont servi de puissants catalyseurs.

Compagnie Lebon - Pixabay.com

Cie Lebon pour miser sur la réduction de la décote

L'afflux de tourisme à l'occasion des Jeux Olympiques de Paris 2024 devrait profiter à la branche hôtelière de cette affaire familiale d'investissement. La perspective d'une détente du coût de l'argent pourrait aussi servir de catalyseurs dans les métiers de capital investissement et dans l'immobilier. La décote de 55% par rapport à la valeur de la société est appelée logiquement à se réduire.

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