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Bassac coupe son dividende

Le promoteur immobilier captif de la famille Mitterrand (83,4% du capital) est logiquement pénalisé par la grave crise du marché résidentiel neuf. Avec un endettement limité à 39,9% des fonds propres, son bilan reste sain. Le groupe a tout de même choisi de mettre ses actionnaires au régime sec en baissant sensiblement le dividende à 1,5 euro par action. Sur les prochains exercices, il sera encore réduit à 1 euro.

Groupe Crit pour miser sur un changement de taille

En repli de 9% depuis le début de l'année, le titre de cette très belle affaire familiale de travail temporaire et de services aéroportuaires souffre de la défiance des investisseurs pour les valeurs moyennes et les petites capitalisations. Les perspectives de changement de taille liées à l'OPA lancée sur le sixième acteur italien ne sont pas prises en compte, ni la trésorerie nette au bilan qui, après l'opération, représentera à elle-seule 20% de la capitalisation boursière.

Manitou Pixabay.com

Manitou trop prudent?

Le titre de ce leader de la manutention, de l'élévation de personnes et du terrassement reprend de la hauteur à la suite de la publication de comptes annuels meilleurs que prévus et de la confiance du management pour cette année. Le titre continue d'afficher une décote excessive sur sa valorisation de long terme.

Pernod Ricard, les mauvaises nouvelles intégrées

En repli de 13% sur les six derniers mois sur un marché boursier record, le titre de ce numéro deux mondial des spiritueux a souffert de la dégradation au premier semestre de son exercice décalé de deux de ses principaux marchés. Désormais avec des objectifs annuels abaissés, les mauvaises nouvelles paraissent intégrées. Le titre décote sur sa moyenne de long terme de 21,5 fois.

JCDecaux JCDecaux.fr

JCDecaux, les actionnaires au régime sec

Le titre de ce leader mondial de la communication extérieure a été lourdement sanctionné à la suite d’un nouvel exercice sans dividende et d’une perspective de croissance inférieure aux attentes au premier trimestre. La valorisation du dossier demeure attractive.

Publicis-Pixabay.com

Publicis, jusqu’où la hausse du titre ?

Troisième plus forte hausse du CAC 40 l’année dernière, le titre de cette célèbre agence de communication affiche déjà une progression de 15% en l’espace des deux premiers mois de l’année. La performance récompense le succès de la transformation du groupe français vers un profil technologique et digital capable de rivaliser avec les réseaux sociaux américains. Loin d’être hors de prix, le titre se pai à sa moyenne de long terme.

Klépierre, une foncière peu risquée

Exposée à l'immobilier commercial européen avec des actifs loués à 96%, cette foncière est une des sociétés les moins endettées de son secteur et la valeur de son patrimoine a arrêté de baisser depuis six mois. Supérieur à 7%, le rendement est attractif et permet de patienter en attendant que les banques centrales relâchent du lest sur leur politique monétaire.

Dassault Aviation - Pixabay.com

Dassault Aviation, une visibilité record

Le titre de ce célèbre constructeur aéronautique d'avions d'affaire et d'appareils de combat subit quelques prises de bénéfices dans le sillage de la publication de comptes annuels inférieurs aux attentes et pénalisés par les perturbations dans la chaîne d'approvisionnement. Mais le plus important concerne l'exceptionnelle visibilité d'un carnet de commandes record alimenté par la remilitarisation des Etats.

Saint-Gobain Pixabay.com

Saint-Gobain, mal récompensé?

Plus forte baisse en fin de semaine dernière de l'indice CAC 40, le titre de ce leader mondial des matériaux de construction a été pénalisé par un manque de visibilité sur les perspectives de l'année. Le dossier reste solide et décote sur sa moyenne de long terme.

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