
Bassac coupe son dividende
Le promoteur immobilier captif de la famille Mitterrand (83,4% du capital) est logiquement pénalisé par la grave crise du marché résidentiel neuf. Avec un endettement limité à 39,9% des fonds propres, son bilan reste sain. Le groupe a tout de même choisi de mettre ses actionnaires au régime sec en baissant sensiblement le dividende à 1,5 euro par action. Sur les prochains exercices, il sera encore réduit à 1 euro.