S'abonner

Logo decisionbourse.fr

Se connecter

Fnac Darty, jusqu’où la baisse du titre?

Grâce à une stratégie pertinente de développement sur les activités rentables des services de réparation, cette célèbre enseigne parvient jusqu'à présent à absorber les effets négatifs de l'inflation et d'une légère contraction du chiffre d'affaires. Malgré une décote importante sur les fonds propres de la société, il paraît prématuré de revenir sur le dossier.

Gecina Pixabay.com

Gecina, une décote excessive de 45%

Avec un patrimoine positionné à 73% sur le bureau parisien, cette foncière devrait mieux résister que la concurrence à la démocratisation du télétravail. Le groupe n'a pas hésité à relever son objectif de bénéfice net récurrent par action espéré pour cette année. Pas de quoi justifier une décote de 45% sur la valeur du patrimoine après déduction de l'endettement net.

CBO Territoria Pixabay

Hexaom, une valorisation à la casse

De plus en plus intégrée sur toute la chaine de valeur de l'immobilier résidentiel, cette très belle affaire familiale dispose des atouts pour gérer un environnement moins porteur. Avec une trésorerie nette de la société représentant 25% de sa capitalisation et une décote de 18% sur les fonds propres, le titre est injustement traité.

Orange Pixabay.com

OVHCloud, le coup de grâce

La démission surprise du directeur financier de ce leader européen du cloud ne constitue pas une bonne nouvelle pour un titre déjà en souffrance.

Roche Bobois

Roche Bobois, une belle résistance jusqu’à quand?

Le titre de cette célèbre enseigne d'ameublement haut de gamme résiste remarquablement en Bourse aux signes de dégradations de la conjoncture. Grâce à un carnet de commandes encore bien garni, la visibilité est assurée jusqu'à la fin de l'année. Les perspectives pour 2023 s'annoncent plus incertaines.

Sogeclair pixabay.com

Sogeclair mérite mieux

Pénalisée pendant la crise sanitaire, cette petite affaire de solutions innovantes à forte valeur ajoutée pour une mobilité plus sobre et plus sûre s'est restructurée. Elle devrait commencer à en récolter les premiers effets positifs dès cette année. Le titre n'est pas cher.

Dassault Aviation - Pixabay.com

Dassault Aviation, un ciel dégagé

Victime des déclarations démagogiques du ministre des transports sur la future régulation des avions d'affaires en France, le titre Dassault Aviation plie. Mais sa visibilité n'a jamais été aussi excellente et son carnet de commandes près de 3 fois supérieure à sa capitalisation boursière.

Imerys Pixabay.com

Imerys, une valorisation raisonnable

En intégrant une dégradation de les performances en 2023, le titre de ce leader mondial des spécialités minérales pour l'industrie se paie 10 fois les profits et affiche une décote injustifiée de 12,6% par rapport aux fonds propres de l'entreprise.

Thermador Groupe pixabay.com

Thermador, la dynamique ralentit

Remarquablement bien gérée dans un environnement rendu compliqué depuis deux ans par la crise sanitaire et la guerre en Ukraine, cette affaire de distribution spécialisée dans le bâtiment et l'industrie a vu sa marge s'effriter d'un demi-point au premier semestre. Confrontée à une base de comparaison exigeante, la dynamique est appelée à ralentir. Une perspective prise en compte par le marché et des niveaux de valorisation redevenus attractifs.

Plastivaloire Pixabay.com

Plastivaloire, le pire déjà intégré

Cet équipementier automobile table sur une amélioration de la tendance au second semestre après souffert sur la première partie de l'année d'une production automobile contrainte et de l'envolée de l'inflation. La décote sur les fonds propres semble exagérée.

Page 70 de 76