
Gaumont : une visibilité réduite
Les performances du producteur de films et de programmes audiovisuels sont toujours aussi irrégulières et vont être affectée cette année par la grève des auteurs et comédiens américains.
Les performances du producteur de films et de programmes audiovisuels sont toujours aussi irrégulières et vont être affectée cette année par la grève des auteurs et comédiens américains.
La situation géopolitique critique au Proche-Orient et la hausse du prix du pétrole ont fait perdre à l’action tout le terrain gagné depuis le début de l’année. Malgré d’importantes restructurations payantes, la situation financière de la compagnie reste problématique.
Le holding profite des effets positifs de la reprise du tourisme mondial au niveau de son pôle hôtelier et des revalorisations de son portefeuille d’actifs. L’action est faiblement valorisée par rapport à la capacité bénéficiaire moyenne du groupe et la décote de 56% par rapport à la valeur d’actif net réévalué est excessive.
Le parcours du leader français du courtage en énergie sur le marché du B2B depuis son introduction en bourse à la fin du mois de mai est très décevant malgré le respect par la société de sa feuille de route. L’aversion des investisseurs envers les valeurs moyennes y est pour beaucoup.
Le constructeur de catamarans retrouvera sur le nouvel exercice des conditions de production normales, propice à l’amélioration de sa rentabilité et devrait profiter du succès de ses nouveaux lancements. Le dossier est peu valorisé et la trésorerie au bilan représente 20% de la capitalisation boursière.
Comme prévu, la croissance du numéro un mondial du luxe ralentit par rapport à une base de comparaison extrêmement élevée. Après la baisse des cours, la valorisation du dossier revient dans sa moyenne historique.
La filiale gabonaise du géant pétrolier français perd de la visibilité avec le coup d’Etat au Gabon. L’exploitation devrait néanmoins continuer normalement alors que les liens entre la France et le Gabon ne semblent pas remis en cause. Le dossier est surtout intéressant pour son rendement élevé.
Dans un environnement adverse, le promoteur ne peut éviter une chute de ses réservations de logements même s’il résiste mieux que l’ensemble du secteur. Les objectifs pour cette année sont confirmés mais 2024 sera sans doute plus difficile.
La stratégie consistant à faire d’Arkema un leader des matériaux de spécialités commence à porter ses fruits tant sur les performances du groupe que dans sa perception chez les investisseurs. La direction vise désormais 12 milliards d’euros de chiffre d’affaires à l’horizon 2028.
Le groupe de maisons de retraite continue de subir la défiance des investisseurs sur l’ensemble du secteur et pourrait être fragilisé par un niveau d’endettement élevé.