Le casinotier retrouve des conditions d’exploitation normales en année pleine, propices à une génération de cash et au financement des investissements de rénovation de ses établissements. Le titre reste toujours déprécié par rapport à la valeur des actifs mais souffre aussi d’une décote liée aux considérations ESG.
Le spécialiste des solutions laser pour l’industrie et la défense affiche une belle dynamique commerciale et est désormais en ordre de marche pour délivrer son carnet de commandes bien rempli après le déménagement sur le nouveau site de Villejust. Les dernières acquisitions vont temporairement peser sur les marges avant de participer à l’accélération de la croissance.
Malgré une activité record et un bon carnet de commandes, le fabricant de nacelles élévatrices peine à séduire les marchés en raison d’un bilan très tendu qui lui coûte de plus en plus cher en termes de frais financiers et laisse planer la menace d’un appel au marché.
Après de longues années de cotation séparée de sa maison mère, la filiale routière du groupe Bouygues va bientôt sortir de la cote avec une prime de 54% sur le dernier cours coté.
Le réassureur a dévoilé un nouveau plan destiné à augmenter régulièrement la valeur économique du groupe et à améliorer la politique de distribution pour les actionnaires alors que la valorisation du titre reste pour le moment très faible.
Porté par la tendance à l’électrification des véhicules, l’équipementier automobile affiche une bonne dynamique et retrouve de meilleurs niveaux de rentabilité. Le bilan reste le point faible mais devrait s’améliorer avec le retour à une bonne génération de cash.
Le groupe de restauration collective continue de susciter la défiance malgré le soutien industriel et financier apporté par son nouvel actionnaire de référence, le groupe Derichebourg. La dette constitue un sujet de préoccupation majeur.
Le groupe de médias qui développe conjointement une offre BtoC à destination des consommateurs et une offre BtoB lui permettant de monétiser ses audiences auprès des annonceurs devrait voir ses résultats baisser cette année avant de rebondir l’an prochain grâce à l’intégration des dernières acquisitions et au développement international.
Le fabricant de parfums de prestige sous licences subit une défiance des marchés depuis l’annonce par le groupe Richemont de la création d’un laboratoire haute parfumerie et beauté susceptible de reprendre en direct les parfums des marques Montblanc et Van Cleef & Arpels. Une menace que Interparfums veut relativiser au regard du contrat à long terme conclu avec Montblanc.
L’équipementier automobile continue d’investir massivement dans l’intégration des nouvelles acquisitions et dans le développement de ses activités liées à l’hydrogène. Au regard de la vigueur du carnet de commandes, le bénéfice pourrait doubler en trois ans.
