Après plusieurs années de repli des résultats, le fabricant de stylos, de briquets et de rasoirs jetables est en passe de renouer avec la croissance de son activité. Il récolte là les fruits du déploiement de son plan stratégique « Horizon ». Les marchés semblent y croire, comme en atteste la performance du titre depuis le 1er janvier, mais son rattrapage est loin d’être achevé.
Après deux années d’investissements consacrées à sa nouvelle stratégie, visant à la désintermédiation de l’édition de ses jeux, ce petit acteur français, spécialisé dans les jeux vidéo narratifs, devrait progressivement prendre une nouvelle dimension. Dans un secteur qui bouge, la présence de Tencent dans son tour de table confère au titre un attrait spéculatif.
Alors que la transition énergétique restera un thème porteur en bourse, en dépit du contexte, Thomas Baumgartner, Directeur financier de Mersen, nous explique les ambitions de cet expert des spécialités électriques et des matériaux en graphite dans le solaire, les véhicules électriques et les semi-conducteurs, des marchés en plein essor. Il revient aussi sur le début de l’année et la manière dont le groupe gère la hausse des salaires et des prix des matières premières.
Après avoir subi trois crises successives, le déremboursement en France des produits homéopathiques, la réorganisation de la société, et la Covid, le leader mondial de l’homéopathie relève la tête. Le dynamisme de ses marchés hors de France, ses innovations et la diversification de son activité devraient soutenir ses performances au cours des exercices à venir.
En dépit de la cession de sa division dédiée aux logiciels de gestion des risques des entreprises au mois de février, cette société de services numériques a revu à la hausse ses objectifs à l’horizon 2024. Son activité fait toujours preuve d’un grand dynamisme, et elle est à l’affût d’opportunités de croissance externe.
Confronté comme tous les industriels à des vents contraires, le producteur de spécialités minérales pour l’industrie a enregistré de solides résultats au premier trimestre. Les capacités de résilience de son modèle économique et son « pricing power » ne sont plus à démontrer. La valorisation du titre est très raisonnable, et intègre une éventuelle révision à la baisse des prévisions.
L’activité du négociant de matériaux vendéen est restée dynamique au premier trimestre. Le déploiement de sa stratégie de transformation l’ayant rendu plus résilient et plus rentable, il est armé pour faire face à un éventuel ralentissement de la conjoncture dans le bâtiment. La faible valorisation du titre constitue un autre facteur de soutien.
Cette petite société qui édite des logiciels permettant de diffuser en streaming des contenus avec la plus grande qualité d’expérience, s’introduit à la bourse de Paris. Evoluant sur un marché en plein essor, et fort d’un bel historique de croissance, elle souhaite tripler de taille d’ici à 2026, et porter sa marge brute d’exploitation à 20%.
Alors que le fabricant de catamarans possède un carnet de commandes bien garni, en raison de l’engouement des particuliers pour la plaisance, la croissance de son activité est freinée par les tensions sur les chaines d’approvisionnement et sur le recrutement de personnel. Il se dirige néanmoins vers un nouvel exercice de progression des résultats.
Après un exercice 2020/2021 (clos le 30 septembre) remarquable, marqué par une forte croissance et une rentabilité élevée, ce petit acteur du marketing digital devrait poursuivre sur sa lancée grâce au déploiement de sa stratégie digitale, au renforcement de ses équipes de vente et à de possibles nouvelles acquisitions. Le titre est bon marché.
