Parfaitement en ligne avec les objectifs et les anticipations de marché, les résultats du dernier exercice ont donné lieu à des dégagements sur le titre en Bourse. Très largement décoté sur sa moyenne de long terme, ce leader dans les services de paiement conserve du potentiel.
Massacré en Bourse depuis un an en raison de l'attentisme des ménages inquiets de l'érosion de leur pouvoir d'achat et de la hausse des taux d'emprunt, ce premier réseau mondial de construction de piscines enterrées se paie moins de 10 fois des perspectives très prudentes de profits et sa trésorerie représente à elle-seule près d'un quart de la capitalisation.
Ce petit acteur de l'impression 3D déjà rentable a dévoilé sur le dernier exercice une croissance du chiffre d'affaires un peu moins élevée qu'anticipée et la rentabilité pour cette année souffrira d'un effort de recrutement et d'investissement en recherche & développement. La chute de 16% du cours de bourse apparaît excessive.
Très décoté, le titre de ce cimentier européen, contrôlé à 61,6% par les familles Vicat-Merceron, se reprend dans le sillage d'un message plutôt positif de la direction pour cette année.
Le titre de ce célèbre holding présent dans l'édition et les boutiques sur les lieux de transport marque le pas depuis un mois et continue de décoter sensiblement par rapport au prix auquel Vincent Bolloré s'apprête à racheter plus de 80% du capital.
Cette filiale du Crédit Agricole, leader en Europe dans la gestion d'actifs est parvenu l'an dernier à tirer son épingle du jeu dans un environnement de marché très compliqué. Sauf surprise, l'exercice 2023 s'annonce plus favorable. Le titre n'est pas très cher et offre un rendement sécurisé d'un peu plus de 6%.
Cet acteur mondial de l'industrie 4.0 à destination des secteurs de l'automobile, de la mode et de l'ameublement a dévoilé des résultats de qualité sur son dernier exercice. Mais la largesse des prévisions traduit un manque de visibilité peu apprécié du marché.
Le secteur de la promotion immobilière de logements traverse une période difficile entre des maires toujours rétifs à délivrer des permis de construire et une brutale augmentation des refus de prêt suite à la remontée des taux d'intérêt. Nordine Hachemi, le patron de Kaufman&Broad nous livre son analyse sur le marché et les raisons de sa confiance dans les qualités de sa société.
La publication d'un chiffre d'affaires inférieur aux attentes au quatrième trimestre et sur l'ensemble du dernier exercice n'a pas empêché le titre de cet acteur mondial des produits de contraste pour l'imagerie médicale de s'apprécier. Sans doute faut-il y voir le signe qu'une bonne partie des mauvaises nouvelles sont intégrées. Le titre n'est pas cher mais il faudra se montrer patient.
Cette très belle affaire familiale spécialisée au niveau mondial dans les équipements de protection a dévoilé sur le dernier exercice un chiffre d'affaires de qualité. La résilience de la conjoncture en Europe et son redémarrage en Chine constituent des signes plutôt rassurants pour cette année. Le titre n'est pas très cher.
