Ce célèbre holding familial présent sur les métiers du BTP, des services à l'énergie, dans les médias et les télécoms doit relever plusieurs défis, ce qui limite le potentiel de son titre à court terme. Un bonus cappé permet de miser sur le dossier sans trop de risques.
Après un très bel exercice 2021, ce laboratoire vétérinaire fait preuve de prudence pour cette année sur sa rentabilité. En cause, l'inflation et un effort de recherche & développement.
Grâce à un portefeuille de marques premium et un très bon positionnement sur les marchés stratégiques des Etats-Unis, de la Chine et de l'Inde, ce numéro deux mondial des spiritueux dispose d'une forte visibilité. Il est possible de s'intéresser au dossier au moyen d'un bonus cappé.
Introduit avec succès en fin d'année, ce spécialiste dans la fourniture d'équipements d'infrastructures destinés aux marchés des télécoms, de la mobilité propre et de l'industrie a dévoilé un solide chiffre d'affaires au troisième trimestre. De quoi confirmer son objectif pour l'exercice et à plus long terme.
La réduction des risques liés à la cinquième vague épidémique et la faible valorisation du titre ont permis à cet acteur européen du BTP et des concessions de bien commencer l'année en Bourse. Un bonus permet de miser sur le dossier sans trop de risque.
Toujours porté par la transition énergétique des bâtiments, le bricolage et le boom autour de la construction des piscines, ce distributeur spécialisé a réalisé une très belle fin d'exercice. La visibilité demeure pour cette année.
Dans un environnement inflationniste qui va inciter les banques centrales à normaliser leur politique monétaire, les sociétés les moins chères et les plus sensibles à la conjoncture devraient tirer leur épingle du jeu. Un tracker permet de miser sur cette thématique.
Adoubé depuis deux ans avec la crise sanitaire, le tire de ce fournisseur mondial de solutions pour la biopharmacie souffre ne ce début d'année du mouvement de bénéfices entourant les valeurs de croissance et des perspectives de la normalisation de la pandémie. A 46,7 et 42,5 fois les profits estimés pour cette année et 2023, la cherté du titre l'expose à un recul prononcé de son cours de bourse.
Encore décoté par rapport à un actif net tangible de 76,8 euros par action, le titre de la banque de la rue d'Antin est soutenu par le programme de rachats d'actions, par la perspective d'acquisitions et par l'incidence possible de la remontée des taux d'intérêt sur son activité de banque de détail. Un stability permet d'espérer un gain rapide mais pas sans risque.
La moindre dangerosité de la nouvelle souche du virus et le redécollage du transport aérien accélèrent le rattrapage du titre depuis le début de l'année. Jusqu'où?
