Soutenu par la flambée des prix du pétrole et du gaz consécutive à la guerre en Ukraine, le titre de la compagnie pétrolière se classe au cinquième rang des plus fortes hausses de l'indice CAC 40 depuis le début de l'année. Face au manque de visibilité sur l'évolution des prix du baril au regard des craintes de récession, un stability permet de sécuriser la performance sur TotalEnergies.
En hausse de 20% sur six mois, le titre de cet acteur mondial d'équipements pour le sport et le loisir surperforme largement l'indice de référence des petites capitalisations. En cause, le retour à une forte croissance de son chiffre d'affaires et une visibilité retrouvée.
La mobilité propre fait partie des grandes ruptures technologiques des prochaines décennies. Une façon de miser sur la thématique en diversifiant son risque est de prendre un tracker.
Largement massacré ces dernières semaines, le titre de cette affaire familiale très bien gérée et spécialisée dans les automatismes d’ouverture et de fermeture de bâtiment et dans la maison connectée bénéfice depuis la fin de la semaine dernière d’un retour en grâce. Avec une trésorerie nette représentant déjà à elle-seule un peu plus de 12% de la capitalisation boursière, le titre n’est pas très cher.
Doublement pénalisé par les confinements en Chine et les dégonflements des multiples observés sur les valeurs de croissance, le titre l'Oréal est sous pression. Un stability permet de faire abstraction de la volatilité et d'espérer gagner 11% en trois mois.
Cette petite affaire de production d'hydrogène vert pour décarboner l'industrie et la mobilité souhaite lever en Bourse de Paris 110 millions d'ici au 19 mai pour financer sa montée en puissance. Sur la base du prix proposé, l'affaire est valorisée 480 millions.
Malgré la dépendance du constructeur aéronautique au titane en provenance de Russie dont il cherche à s'affranchir, Airbus se montre très confiant dans ses perspectives pour cette année et à plus long terme. Un stability permet de faire abstraction de la volatilité ambiante du marché et de se positionner sur le dossier.
Ce chimiste de spécialité fait partie des rares sociétés à avoir pris le risque de relever ses perspectives d'excédent brut d'exploitation dans un environnement pourtant très compliqué par le manque de visibilité et l'hyperinflation. Le titre décote sur son ratio de long terme.
Encore négative en début d'année, la rémunération des emprunts d'état de la zone euro commence à redevenir intéressante dans un contexte de forte aversion aux risques et au moment où l'inflation ne semble plus très loin de ses records. Un tracker permet de miser sur la sécurité des dettes souveraines.
La direction de cette célèbre enseigne d'ameublement et d'articles de décoration aborde le deuxième trimestre avec prudence. Pour l'instant, les objectifs de l'exercice sont maintenus. La valorisation du titre est peu exigeante mais les risques sont loin d'être nuls.
