Lourdement pénalisé par la période de confinement au deuxième trimestre et par la dégradation du marché automobile, ce fabriquant d'équipements électroniques pour les véhicules et les télécommunications commence à entrevoir le bout du tunnel. Mais son bilan est sous pression.
Valorisé à seulement 11,5 et 10,6 fois les profits estimés pour cette année et 2021, le titre Carrefour reste injustement traité en Bourse malgré le succès de la stratégie déployée par les équipes d'Alexandre Bompard. Un stability permet d'espérer un gain de 8 en seulement un mois.
Cette plateforme OTT de 55 chaînes thématiques cherche jusqu'au 23 novembre à lever 20 millions d'euros via son introduction en bourse sur le compartiment d'Euronext Growth.
La stratégie du constructeur basée sur la rentabilité et le renouvellement d'une gamme réussie lui permet de remarquablement bien tirer son épingle du jeu dans un environnement pourtant dégradé. Un stability permet d'espérer un gain attractif.
Ce petit équipementier automobile spécialisé dans les solutions de protection des réseaux électriques et des fluides embarquées a renoué avec la croissance organique de son chiffre d'affaires au troisième trimestre. Parallèlement, il lance jusqu'au 20 novembre une modeste augmentation de capital pour financer une partie de sa dernière acquisition.
Une grosse capitalisation boursière de la place de Paris, l'action du géant mondial du luxe évolue à des records historiques, portée par les espoirs de vaccins et de reprise de la demande en Europe et aux Etats-Unis. Un stability permet de miser sur une performance de 44% en deux mois. Mais pas sans risque.
La publication fin octobre du chiffre d'affaires du troisième trimestre et l'annonce d'une co-entreprise signée avec l'allemand ElringKlinger dans le domaine de la production de l'hydrogène vert étaient l'occasion de donner la parole à Laurent Favre, le directeur général de cet équipementier automobile de dimension mondiale et contrôlé par la famille Burelle. Laurent Favre nous livre son analyse des neuf premiers mois du groupe et ses projections sur la stratégie du groupe.
Doublement pénalisé par la crise sanitaire et le basculement des habitudes des salariés en télétravail, cet acteur mondial de la restauration collective a toutefois dévoilé des comptes annuels meilleurs que prévu. Mais il sera contraint sur le moyen terme de revoir son business model.
A l'instar des autres valeurs de la santé, le titre de ce leader mondial de la bio-analyse fait l'objet d'importants dégagements à a suite de l'annonce d'un taux d'efficacité de plus de 90% sur le futur vaccin développé par Pfizer contre le Covid. Un bonus cappé permet de miser sur le dossier avec un gain de 7% en quatre mois.
Le marché a salué l'annonce de mesures prises pour améliorer la gouvernance de cet acteur mondial de distribution et de stockage de produits pétroliers. En nette redressement, la performance du troisième trimestre rassure. De quoi favoriser un rattrapage important d'une valeur très sévèrement sanctionnée.
