Cette très belle affaire familiale spécialisée dans les automatismes et les motorisations pour les ouvertures du bâtiment et dans la maison connectée n'a pas souffert jusque là du krach boursier. Une partie de la trésorerie pourrait être reversée aux actionnaires en fin d'année en l'absence d'opportunités de croissance externe.
Le titre de cette très belle affaire familiale présente sur le secteur très porteur des vêtements de protection ne résiste pas au mouvement de ventes paniques sur le marché. Au point de refluer sous le seuil des 40 euros et de faire apparaître des ratios de valorisation plus raisonnables.
A la pandémie de coronavirus s'ajoute désormais un krach sur les cours du pétrole, une industrie importante aux Etats-Unis, ce qui devrait peser sur la croissance de l'économie américaine. Une action concertée des gouvernements et des banques centrales pourrait constituer une force de rappel sur l'indice CAC 40. Un bonus cappé permet de commencer à revenir sur le marché avec un risque maîtrisé.
Cet acteur mondial de l'événementiel vient de dévoiler des chiffres record sur son dernier exercice mais souffre d'une absence de visibilité sur la tenue des manifestations en raison de la crise sanitaire du coronavirus. En Bourse, le titre retombe à des planchers sur trois ans.
Le titre de ce leader mondial de la vision ne résiste pas au mouvement de correction malgré la publication d'une performance solide l'an dernier. En dépit d'une exposition limitée à la Chine, la propagation du virus va peser au premier semestre. Un stability permet d'espérer un potentiel de gain élevé sous certaines conditions.
Même s'il est peu présent en Asie, ce fabricant de parfums de prestige devrait être pénalisé par la propagation du virus à l'Europe et aux Etats-Unis, deux régions importantes. Raison pour laquelle la direction n'évoque plus les objectifs de chiffre d'affaires et de rentabilité pour cette année.
Le leader mondial des matériaux commence à recueillir les fruits de sa stratégie d'arbitrage de ses actifs destinée à améliorer sa marge et la rentabilité de ses capitaux investis. Le titre demeure sous coté mais doit faire face à un manque de visibilité sur la croissance mondiale. Un bonus cappé constitue un moyen de miser sur le dossier sans prendre trop de risques.
Le numéro deux européen de la prise en charge de la dépendance a davantage souffert que son concurrent Orpea du retour de l'aversion aux risques sur les marchés actions. Les comptes du dernier exercice sont pourtant de qualité et le titre affiche une décote de valorisation sur son ratio moyen.
A l'instar des géants du luxe, l'Oréal, très exposé à l'Asie et particulièrement à la Chine, n'a pas été épargné par les prises de bénéfices. La montée en puissance d'internet devrait absorber une partie du manque à gagner. En attendant, un retour à la normale. Un stability permet d'espérer un gain de 11% en un peu plus de 1 mois.
Atypique sur le segment immobilier, cet acteur à la fois promoteur et foncière a dévoilé des comptes annuels solides et confirme son exceptionnelle visibilité avec un portefeuille de projets de 20 milliards. Le dividende proposé reflète un rendement attractif supérieur à 7%. De quoi justifier une prime.
