Largement sanctionné au dernier trimestre 2019 pour ses difficultés sur le marché des satellites et une base de comparaison moins favorable dans le transport, Thales a déjà regagné une bonne partie du terrain en Bourse. Des prises de bénéfices ne sont pas à exclure à court terme.
Le titre de cette célèbre enseigne d'ameublement et d'articles de décoration est une des rares valeurs de consommation à résister à l'impact potentiel des grèves en France. A 16,6 et 14,4 fois les profits pour 2019 et 2020, l'action n'est pas encore trop chère.
Recentré sur la restauration collective, le groupe a plutôt favorablement surpris le marché en décembre avec des comptes annuels un peu supérieurs aux attentes et une bonne visibilité sur les perspectives. Un call turbo permet d'amplifier un éventuel rattrapage de la valeur.
Après une très belle année boursière en 2019, le marché parisien démarre le nouveau millésime à des niveaux records depuis 12 ans, soutenu par l'accord commercial de phase 1 et par l'absence de placements alternatifs susceptibles de délivrer du rendement.
Malgré une valorisation tendue, le titre de cet équipementier ferroviaire évolue à ses meilleurs niveaux depuis le printemps 2010 alors même que le groupe a fait preuve d'une croissance de son chiffre d'affaires assez faible à l'issue des neuf premiers mois de son exercice fiscal.
Malgré un rendement attractif de plus de 6%, le titre de ce holding demeure pénalisé par la faiblesse du prix de vente envisagé pour la cession de la branche sport et par les grèves en France dans les lieux de transport. Un bonus cappé permet de miser sur un rattrapage de l'action sans prendre trop de risque.
Au plus haut historique et déjà en hausse de 12% depuis le début de l'année, cet éditeur de logiciels de dématérialisation de documents en mode cloud a dévoilé un chiffre d'affaires annuel meilleur que prévu et dispose d'une excellente visibilité. Des atouts déjà bien valorisés?
A l'instar d'une bonne partie du secteur automobile, Peugeot a souffert l'an dernier du ralentissement du marché mondial notamment en Chine et en Amérique Latine. Après le redressement spectaculaire de ses marges, le groupe est à la recherche d'un nouveau souffle.... en attendant sa fusion avec Fiat-Chrysler.
Ce leader mondial de l'événementiel a dévoilé un chiffre d'affaires annuel supérieur aux attentes soutenu par un très bon dernier trimestre et une forte croissance de son métier le plus rentable d'organisation de salons. A 13,3 et 12,3 fois les profits de 2019 et pour cette année, le titre mérite mieux.
Assez logiquement, le titre de ce leader mondial de la bio-analyse marque le pas depuis trois mois, après un très beau rebond observé en 2019. Son potentiel n'est pas épuisé au regard du désendettement de la société et de son excellente visibilité. De quoi prendre un call turbo.
