La maison de luxe ne connait toujours pas de baisse de régime malgré la dégradation de la conjoncture. Le rebond des ventes en Chine et l’augmentation des capacités de production dans la maroquinerie permettent d’envisager la poursuite d’une croissance à deux chiffres sur les deux prochaines années. Cette bonne visibilité et les excellents fondamentaux justifient la valorisation élevée du dossier.
Déjà pénalisé au deuxième trimestre par la politique de tolérance zéro covid en Chine, ce leader mondial de l'évaluation et de la certification aura sans doute du mal à améliorer sa rentabilité.
Le fabricant de stations de ravitaillement en hydrogène semble bien parti pour tenir les objectifs fixés à l’horizon 2025 lors de son entrée en bourse et pourrait dégager des bénéfices d’ici deux ans. Les investisseurs en attendent la confirmation.
Fragilisé par la sortie d'un livre à charge, ce leader mondial de prise en charge de la dépendance doit aussi faire face à une dette importante dans contexte de forte remontée des taux d'intérêt.
Le groupe familial d’hôtellerie de luxe se remet de la crise sanitaire et dépasse le niveau de revenu par chambre de la période pré-covid. Le titre apparait faiblement valorisé par rapport à la qualité des actifs immobiliers au bilan mais souffre d’une faible liquidité en bourse.
Malmené en Bourse ces derniers mois, ce groupe industriel leader mondial sur des marchés de niche à forte valeur ajoutée n'a pas démérité au premier semestre et demeure très confiant sur ses perspectives. Son président et principal actionnaire, Michaël Fribourg nous explique pourquoi.
Le laboratoire spécialisé dans les tests de bio-analyse continue de supporter un effet de base défavorable liée à la baisse de la demande de tests covid. Le retour à une croissance plus soutenue ne devrait pas intervenir avant 2024.
Après avoir largement surperformé le marché à la faveur d'un fort rebond du trafic transmanche lié à la levée des restrictions sanitaires, le titre subit d'importantes prises de bénéfices depuis quelques semaines. La faute à l'adossement d'une partie de sa dette à l'inflation française et britannique.
L’opérateur de satellite attend beaucoup de son projet de fusion avec OneWeb en vue de créer un leader européen de l’internet haut débit depuis l’espace, dont le chiffre d’affaires pourrait approcher 2 milliards d’euros en 2027. Les investisseurs restent pour le moment sur la réserve.
Ce fournisseur de solutions de connectivité pour l'industrie des télécoms revoit à la hausse, pour la seconde fois de l'année, ses perspectives de l'exercice. Le titre n'est pas trop cher au regard de la solidité du bilan de l'entreprise et des taux de croissance attendus.
