Ce leader européen de la distribution omnicanale spécialisé dans l'équipement, la culture et le loisir est sous pression en Bourse. Après la crise sanitaire, le groupe doit gérer le double effet négatif de l'érosion du pouvoir d'achat de ses clients et de l'inflation du prix de ses approvisionnements. Le titre décote sensiblement par rapport à sa moyenne de long terme.
Plus forte baisse de l'indice SBF120, le titre de cet acteur mondial de la prise en charge de dépendance a perdu encore 20% de sa capitalisation boursière en une seule séance à la suite de nouvelles révélations sur des montages financiers délictueux au Luxembourg visant à développer le groupe en Europe. La société n'est plus valorisée en bourse que sur la seule base de son patrimoine immobilier déduction faite de l'endettement.
Avec la montée en puissance de l’économie circulaire, les perspectives d’activité de ce spécialiste de la valorisation et du stockage de déchets industriels ou issus de collectivités semblent prometteuses. Son Directeur général, Maxime Séché, nous explique quelles sont les priorités du groupe à court terme et ses ambitions à l’horizon 2025. Il nous indique également comment il affronte la conjoncture actuelle.
En hausse de 20% sur six mois, le titre de cet acteur mondial d'équipements pour le sport et le loisir surperforme largement l'indice de référence des petites capitalisations. En cause, le retour à une forte croissance de son chiffre d'affaires et une visibilité retrouvée.
Largement massacré ces dernières semaines, le titre de cette affaire familiale très bien gérée et spécialisée dans les automatismes d’ouverture et de fermeture de bâtiment et dans la maison connectée bénéfice depuis la fin de la semaine dernière d’un retour en grâce. Avec une trésorerie nette représentant déjà à elle-seule un peu plus de 12% de la capitalisation boursière, le titre n’est pas très cher.
Cette petite affaire de production d'hydrogène vert pour décarboner l'industrie et la mobilité souhaite lever en Bourse de Paris 110 millions d'ici au 19 mai pour financer sa montée en puissance. Sur la base du prix proposé, l'affaire est valorisée 480 millions.
Avec l’émergence du télétravail, le marché des bureaux est en pleine mutation. Philippe Rosio, le Président Directeur général d’Inea, une petite foncière de bureaux positionnée sur les métropoles régionales, nous explique comment ce phénomène joue dans les régions, les avantages que le groupe retire de son positionnement précoce sur les immeubles verts, et comment il entend une nouvelle fois doubler de taille en cinq ans.
Ce chimiste de spécialité fait partie des rares sociétés à avoir pris le risque de relever ses perspectives d'excédent brut d'exploitation dans un environnement pourtant très compliqué par le manque de visibilité et l'hyperinflation. Le titre décote sur son ratio de long terme.
La direction de cette célèbre enseigne d'ameublement et d'articles de décoration aborde le deuxième trimestre avec prudence. Pour l'instant, les objectifs de l'exercice sont maintenus. La valorisation du titre est peu exigeante mais les risques sont loin d'être nuls.
Rentable depuis depuis deux ans, cette petite société spécialisée dans les systèmes de traitement et de désinfection de l'eau par UV, ozone ou électrolyse au sel dispose d'une excellente visibilité renforcée par l'acquisition très prometteuse de Corelec. Son fondateur et patron, Benoît Gillmann, fait le point sur les perspectives du groupe et la nouvelle politique de distribution de dividende instaurée à l'égard des actionnaires.
