Effectivement. La société a parfaitement réussi son recentrage sur les activités de serveurs haute performance et basse consommation utilisés pour le traitement de l’intelligence artificielle et les activités liées à la souveraineté (défense). L’annonce d’une commande de 54 millions de dollars au Royaume-Uni s’ajoute à celle d’un autre contrat de 100 millions de dollars dans l’Etat de New York aux Etats-Unis. L’an dernier, la société avait signé un méga contrat de 610 millions de dollars sur 6 ans avec un acteur américain. Le chiffre d’affaires devrait ainsi bondir d’environ 30% sur l’exercice clos le 30 juin dernier et à nouveau de 30% l’an prochain, avec un effet de levier très important sur la rentabilité. Malgré un doublement du cours depuis le début de l’année, le dossier conserve du potentiel, d’autant que les risques liés à a situation financière (augmentation de capital) diminuent. Le principal défi consiste maintenant à gérer cette hyper croissance et à livrer les contrats à l’heure. Attention toutefois, le titre est assez volatil et est corrélé aux valeurs technologiques américaines.