Difficile à dire. Le dossier comporte toujours des zones de fragilité, à commencer par la baisse de l’activité (encore -12,3% au premier trimestre) liée à la maturité de certains marchés, même si des relais de croissance se font jour dans l’énergie et en Allemagne. L’an dernier, le résultat opérationnel était tout juste à l’équilibre mais le poids important de la charge financière (dette locative) a maintenu le résultat net dans le rouge. Enfin si la dette bancaire est marginale, la dette locative au bilan n’est pas négligeable. Nous préférons rester prudents sur ce dossier très spéculatif dont la meilleure issue serait un rachat par un fonds d’investissement.