Nous sommes neutres sur le dossier. La valorisation est historiquement faible (décote de 50% sur la moyenne des cinq dernières années en termes de valeur d’entreprise sur résultat d’exploitation), mais la rentabilité a encore déçu au premier semestre en raison du poids des dépenses de recherche et développement et en ressources humaines. La trésorerie nette de 98 millions d’euros (soit 16% de la capitalisation boursière) constitue néanmoins un facteur rassurant. Si la direction attend une accélération de la croissance au deuxième semestre et un redressement de la rentabilité, les investisseurs échaudés attendront sans doute de juger sur pièce. Contentez-vous de conserver votre position initiale.