La marche des affaires courantes de cet acteur majeur du conseil en technologies innovantes et management pour les entreprises a connu quelques ratés en 2019. Le groupe n’en demeure pas moins un très bon élève dans la catégorie des SSII.
Filiale de Bigben Interactive, cet acteur important des jeux vidéo brave la tempête boursière en s’introduisant sur le marché réglementé d’Euronext. Sur le papier, les perspectives de croissance de la société sont suffisamment alléchantes pour retenir l’attention des investisseurs.
Ce producteur indépendant d’énergie renouvelable continue de développer son portefeuille d’actifs (éolien, solaire et stockage) à un rythme très soutenu. Les objectifs 2021 sont à portée de main, ce que le marché valorise largement. Un effet de mode ?
Introduit sur Euronext Growth en juin 2018, ce spécialiste des systèmes innovants de désinfection de l’eau délivre une croissance impressionnante, au-dessus des prévisions. Face à l’essor de la thématique de l’environnement auprès des gérants, cette valeur a des atouts à faire valoir.
Fidèle à sa réputation, ce champion mondial de la gestion de la relation client a dévoilé des résultats annuels record. Soutenu par l’apport des nouvelles technologiques, le modèle devient de plus en plus vertueux, confortant la dimension défensive du dossier.
La récente flambée de la FDJ n’a que modestement profité au titre de ce holding, détenteur de 2,62% du capital de l’opérateur de jeux. La décote sur la valeur des actifs se creuse.
Le studio d’animation tricolore a déçu sur ses ventes de l’exercice 2019. Mais la société, connue pour ses productions « Oggy et les Cafards » et « Zig et Sharko », entend accélérer à l’avenir, grâce à la demande croissante des plateformes de streaming type Netflix. De quoi inciter à l’optimisme sur cette valeur conseillée précédemment dans le « Coin du spéculateur ».
Alors que le coronavirus fait peser une épée de Damoclès sur le tourisme mondial, le voyagiste français spécialisé dans l’aventure et le sur-mesure peut compter sur la profondeur de son catalogue et un positionnement original pour tirer les marrons du feu. En mode pause depuis plus d’un an, le titre recèle un important potentiel de revalorisation.
Dans un environnement devenu plus incertain pour cause d’épidémie de coronavirus, les atouts défensifs de l’ancienne Loterie nationale séduisent les investisseurs. Peut-on encore acheter ? Notre réponse.
Dans un entretien accordé à La lettre de la bourse, Christian Labeyrie, directeur général adjoint de Vinci, brosse un bilan favorable de l'année 2019 et des perspectives pour l'exercice en cours. Le dirigeant en profite pour détailler l'impact du coronavirus sur les activités de concessions aéroportuaires et évoquer la privatisation de Groupe ADP.
