
Vivendi : une scission très attendue
Le holding réunira ses actionnaires le 9 décembre pour entériner la scission de ses activités dans le but de maximiser la valeur des actifs du groupe.
Le holding réunira ses actionnaires le 9 décembre pour entériner la scission de ses activités dans le but de maximiser la valeur des actifs du groupe.
Le spécialiste des pompes volumétriques pour le secteur pétrolier connait une érosion temporaire de ses marges. Mais il est surtout très décoté par rapport à ses actifs, notamment une trésorerie qui couvre les trois quarts de la capitalisation boursière.
La société immobilière présente sur l’île de la Réunion amortit bien la chute de ses activités de promotion par la hausse des revenus issus de son patrimoine foncier. Elle devrait pouvoir continuer de délivrer un rendement supérieur à 6%.
Le groupe de maisons de champagne n’échappera pas à la baisse des expéditions de champagne cette année mais il préserve ses fondamentaux et ses marges en attendant la reprise. Il présente l’un des bilans les plus robuste de son secteur et sa valorisation devient attractive.
Le spécialiste du voyage sur mesure et du voyage d’aventure poursuit sa croissance à un rythme soutenu avec un niveau de rentabilité élevé. Malgré la dernière offre publique de rachat d’actions, la trésorerie représente encore 20% de la capitalisation boursière.
Après un exercice 2024 difficile, le distributeur de matériels pour la circulation des fluides dans le bâtiment pourrait profiter l’an prochain d’une reprise de la construction neuve et de la stabilisation des dispositifs d’aide à la rénovation énergétique. En attendant, la gestion du cash reste excellente.
La petite compagnie pétrolière va améliorer sa production grâce à une découverte au Gabon et à la reprise de ses opérations au Venezuela. Sa génération de cash qui ne cesse de progresser assure une certaine pérennité du dividende et du rendement de 6%.
Le laboratoire vétérinaire souffre ponctuellement du déstockage des grossistes aux Etats-Unis mais conserve de solides fondamentaux et sa valorisation devient beaucoup plus attractive que celle du concurrent Virbac.
Grâce à son positionnement exclusif sur les grands comptes, les organisations internationales et les offices gouvernementaux, le spécialiste de la transformation technologique et digitale des entreprises n’est pas concerné par le trou d’air que connaissent la plupart de ses concurrents.
Le numéro un mondial du luxe poursuit son atterrissage après les deux années euphoriques de l’après-covid. La demande ne ralentit malheureusement pas qu’en Chine.