Le spécialiste du diagnostic in vitro a vu sa rentabilité se dégrader légèrement au premier semestre mais maintient cependant ses objectifs annuels et confirme son statut de valeur de croissance à moyen et long terme.
Le spécialiste de la transformation technologique et digitale des entreprises a pulvérisé ses prévisions au premier semestre avec une dynamique époustouflante de ses activités favorisée par l’obtention de nouveaux marchés. Le groupe surperforme largement son secteur et reste l’un des plus rentables, ce qui justifie une prime.
L’action du groupe de prêt à porter et de produits pour équipement de la maison est au plus bas malgré l’accord de refinancement intervenu avec les partenaires financiers. Le modèle économique pose question sur la pérennité de la société.
Le distributeur résiste bien à la baisse des volumes grâce au dynamisme de ses marque propres et préserve ses marges en réduisant ses coûts. La génération de cash permet de distribuer un bon dividende et de racheter des actions.
Sur un marché toujours bien orienté, le spécialiste du conseil en management et des services numériques devrait à nouveau connaitre une croissance à deux chiffres de son activité cette année tout en maintenant un niveau de marge opérationnelle d’au moins 10%. Le titre apparait encore modestement valorisé compte tenu de la trésorerie au bilan qui représente 30% de la capitalisation boursière.
Après avoir publié des résultats annuels solides, le géant français des spiritueux s’attend à un démarrage plus modeste pour l’exercice 2023/2024, avec notamment un retrait de l’activité anticipé au premier trimestre aux Etats-Unis et en Chine.
Ce leader mondial des spécialités minérales pour l’industrie souffre du déstockage de ses clients dans un contexte de ralentissement des marchés de la construction et du papier. La sanction boursière semble sévère au regard du changement de profil du groupe et de ses projets prometteurs dans le lithium.
Le groupe minier est contraint de suspendre ses opérations au Gabon après le coup d’Etat mené par un groupe d’officiers. L’agence Fitch menace par ailleurs de dégrader sa note financière en raison de performances opérationnelles plus faibles que prévu.
La croissance de l’opérateur télécom reste bridée par un marché difficile en France, compensé heureusement par une bonne dynamique dans la zone Afrique et moyen Orient. Le dividende parait néanmoins sécurisé par la baisse attendue des investissements dans la fibre.
Face à une demande moins soutenue aux Etats-Unis et aux difficultés économiques de la Chine, les valeurs du luxe ont perdu de leur superbe depuis plusieurs semaines. Les tendances de leur marché restent cependant structurellement porteuses sur le long terme et le numéro un mondial du secteur dispose d’atouts majeurs pour en profiter.
