L’activité de ce constructeur de maisons individuelles s’est avérée bien orientée au premier trimestre. Ses carnets de commandes sont en hausse, et ses nouvelles divisions montent en puissance. De quoi conforter son objectif d’atteindre un chiffre d’affaires proche d’un milliard d’euros pour l’ensemble de l’exercice.
Ce groupe atypique, à la fois promoteur immobilier et foncière, se développe sur le marché de la transformation urbaine. Il construit de grands projets mixtes comprenant des bureaux, des logements et des commerces dans des nouveaux quartiers. Sa valorisation est très raisonnable et son rendement, à près de 6%, élevé et pérenne.
Alors que le marché des jeux vidéo représente plus de 300 milliards de dollars de recettes au niveau mondial, ce petit acteur français, spécialisé dans les jeux narratifs, est en train de faire évoluer son modèle économique en éditant ses propres jeux. Une stratégie qui devrait se révéler payante. La présence du géant chinois Tencent dans son capital confère au titre une dimension spéculative.
L’exercice en cours s’annonce de manière favorable pour le spécialiste du conseil financier et de la banque privée avec la recrudescence attendue des opérations d’acquisitions, les besoins de restructuration de leurs bilans pour les entreprises en difficulté, etc. La valorisation du titre reste modérée et un dividende exceptionnel pourrait être versé au quatrième trimestre.
Avec l’acquisition de la société américaine Firestone Building Products, le cimentier franco-suisse a mis un terme à trois années de restructurations. Le groupe, qui a débuté l’exercice sur les chapeaux de roues, entend profiter des plans de relance et des programmes d’investissements dans les infrastructures annoncés à travers le monde.
Alors que son activité est toujours pénalisée par les restrictions de déplacement mises en place en Europe et au Royaume-Uni, le titre du concessionnaire du tunnel sous la Manche est stable depuis plusieurs semaines. La raison : son attrait spéculatif en raison de la présence dans son capital de plusieurs prétendants.
Le développement de cette cleantech a été contrarié l’an dernier par la crise sanitaire. Mais dans un contexte de préservation des ressources naturelles, ses solutions innovantes, qui permettent de recycler les résidus d’hydrocarbures, pourraient être recherchées. Le pari est risqué, la société n’étant pas encore profitable.
Le laboratoire pharmaceutique peine encore à convaincre les marchés de sa capacité à compenser l’effet négatif du lancement d’un générique des deux côtés de l’Atlantique sur son médicament phare. Il devrait y parvenir à mesure que son nouveau plan stratégique sera déployé. Son activité au premier trimestre s’est révélée très solide.
La reprise de l’activité du spécialiste des nacelles élévatrices et des chariots télescopiques est perturbée en ce début d’année par des tensions sur les approvisionnements et la chaine logistique. Mais tout devrait rentrer dans l’ordre à partir de cet été. Le groupe a révisé à la hausse ses prévisions et vise une croissance de 15% de ses ventes cette année.
Après avoir achevé la première partie de son plan de transformation qui consistait à lancer deux nouvelles activités aux côtés de son métier historique, l’affranchissement du courrier des entreprises, via des acquisitions, le groupe souhaite désormais se développer de manière organique. Le pari mérite d’être tenté.
