En légère hausse depuis le début de l'année, l'action de ce holding familial présent en autres dans l'hôtellerie et le thermalisme profite de la levée des restrictions sanitaires et d'une reprise progressive de l'activité dans ces deux secteurs sinistrés. Preuve de la confiance du groupe dans les perspectives, un dividende sera de nouveau proposé aux actionnaires.
La forte demande des sociétés pour le numérique et le besoin d'investir en recherche & développement devraient préserver Capgemini d'un ralentissement de la croissance et des dommages collatéraux du conflit armé en Ukraine. Un bonus cappé permet de miser sur le dossier sans prendre trop de risque.
Ce laboratoire vétérinaire évolue sur un secteur de la santé animale en pleine croissance. Désireux en sortie de crise de remettre l'accent sur son budget de recherche & développement, il se montre prudent sur l'évolution de sa rentabilité. A moyen terme, la visibilité est excellente.
Déjà confronté aux difficultés d'intégration de sa nouvelle filiale canadienne, Bombardier Transport, ce numéro deux mondial de l'équipement ferroviaire est présent indirectement en Russie à travers une participation au capital d'un acteur local. Le risque paraît limité. Un bonus cappé demeure le moyen le moins risqué de miser sur Alstom.
Cette société de services informatiques spécialisée dans la transformation digitale et les logiciels a dévoilé des comptes annuels de qualité. La visibilité reste importante. Des perspectives déjà en grande partie intégrées même si la trésorerie nette de la société représente un peu moins de 30% de la capitalisation boursière.
La connectivité intelligente constitue une rupture technologique à jouer au cours des prochaines années dans les secteurs du bâtiment, de la gestion de l'énergie et de l'eau ou de la sécurité. Lyxor propose un ETF sur le sujet.
L'action de cet éditeur de logiciels spécialisés dans la dématérialisation de documents administratifs et financiers a perdu la moitié de sa valeur depuis le début de l'année.
Parmi les sociétés françaises les plus engagées en Russie avec Renault, la banque située à la Défense estime son risque en ex-URSS gérable et au pire à un demi-point sur ses fonds propres durs. La distribution de son dividende de 1,65 euro par action n'est pas menacée à ce stade. Le titre pourra être joué avec un stability. Attention au profil de risque élevé de ce type de certificat.
Engie profite (à tort) de l'engouement actuel pour le gaz naturel liquéfié pour reclasser sur le marché un autre bloc de 9% du capital de GTT. Il ne lui reste plus qu'une participation de 11% à vendre. L'action GTT est quasiment libérée de la pression baissière que faisait peser la volonté de sortie d'Engie. Une excellente nouvelle.
Victime comme toutes les valeurs de croissance de la remontée des taux et des incertitudes engendrées par le conflit armé, le titre L'Oréal est sous pression. La qualité de ses fondamentaux n'est pas remise en cause. Un bonus cappé permet de faire fi de la volatilité du marché et d'espérer un gain de 18% sur un an. Pour un risque maîtrisé.
