Le fabricant de parfums de prestige sous licences subit une défiance des marchés depuis l’annonce par le groupe Richemont de la création d’un laboratoire haute parfumerie et beauté susceptible de reprendre en direct les parfums des marques Montblanc et Van Cleef & Arpels. Une menace que Interparfums veut relativiser au regard du contrat à long terme conclu avec Montblanc.
Ce leader européen de la distribution de métaux spéciaux très exposé à l'activité manufacturière en Allemagne a dévoilé des comptes semestriels dégradés et la tendance au troisième trimestre n'est pas bonne. Des perspectives intégrées en grande partie dans la décote de 45% sur les fonds propres de l'entreprise. Comme toutes les valeurs cycliques, le titre profitera de l'inversion des politiques monétaires des banques centrales.
L’équipementier automobile continue d’investir massivement dans l’intégration des nouvelles acquisitions et dans le développement de ses activités liées à l’hydrogène. Au regard de la vigueur du carnet de commandes, le bénéfice pourrait doubler en trois ans.
Cet acteur de la conception et de la vente de mobilier sur internet peine à rentabiliser son modèle dans un contexte d'inflation guère favorable à la consommation. Le bilan demeure fragile.
Fort de la restructuration de son outil industriel, le fabricant de tubes sans soudure renoue avec une bonne dynamique de prix qui lui permet de redevenir significativement bénéficiaire. Il est en bonne voie pour ramener sa dette à zéro avant la fin de 2025.
Le dirigeant de cet équipementier automobile revient sur la forte dynamique de l'activité constatée depuis deux trimestres qui l'on amené à revoir à la hausse ses prévisions annuelles avec l'objectif de redresser la rentabilité.
Contrôlé à 53% par la famille Bastide, cet acteur européen spécialisé dans les soins à domicile (équipements et prestations) fait l'objet d'une large défiance en Bourse malgré une régularité dans la délivrance de performances financières. La faute à un bilan trop endetté.
Le spécialiste des solutions pour les nouvelles technologies compense le déclin des activités historiques en France par son entrée sur de nouveaux marchés, ainsi que par la duplication de son modèle à l’international. Redevenu bon marché, le dossier suscite encore de la défiance après des rapports à charge menés contre lui il y a trois ans.
Malgré la dégradation du marché résidentiel, le leader mondial des infrastructures électriques et numériques du bâtiment a relevé ses perspectives pour cette année. Le titre est légèrement décoté par rapport à sa moyenne de long terme.
Le groupe de médias souffre de la baisse du marché publicitaire et de la concurrence des plateformes comme Netflix ou Disney+. Une évolution du tour de table parait peu probable à court terme. Tout l’intérêt du dossier repose donc sur le dividende qui ne semble pas menacé.
