Ce fournisseur mondial de la biopharmacie baisse fortement en bourse après l'annonce d'une opération de croissance externe structurante et très prometteuse qu'il pourrait financer en partie par une augmentation de capital.
Pénalisé par les craintes de resserrement des conditions de crédit des banques et des conséquences de l'inflation sur l'activité des commerçants, le titre de cette foncière de centres commerciaux reflue à moins de 20 euros et affiche une décote de 36% sur la valeur du patrimoine (déduction faite de l'endettement). Le rendement ressort à 9%.
Avec ses solides cash-flows et son rendement attractif, le laboratoire pharmaceutique offre un profil défensif dans le contexte boursier actuel, d’autant que son médicament vedette, le Dupixent, trouve de nouvelles applications qui représentent de beaux relais de croissance.
Sous la pression du fonds activiste TCI, Airbus a mis fin aux discussions avec la direction d'Atos sur les conditions jugées trop onéreuses d'entrée à hauteur de 30% au tour de table de la pépite de transformation digitale, Evidian. La prime spéculative sur le titre Atos disparaît mais d'autres candidats pourraient se manifester et Airbus n'a pas définitivement enterré le projet.
Le fabricant de nacelles élévatrices a été très pénalisé l’an dernier par la hausse significative des prix des composants, de l’énergie et des transports. Il espère rebondir cette année grâce à un carnet de commandes historique mais ses fondamentaux restent fragiles.
Largement attaqué en Bourse au moment de l'invasion de l'Ukraine et de la flambée des prix du gaz, le titre de ce troisième producteur mondial de l'emballage en verre pour les métiers de l'agroalimentaire et des boissons évolue non loin de ses records historiques dans un environnement pourtant chahuté.
Le patron de Mersen nous explique sa stratégie d'investissement ambitieuse pour les cinq prochaines années et comment il entend la financer. L' objectif est de hisser le chiffre d'affaires à 1,7 milliard d'euros à l'horizon 2022.
Le leader mondial des solutions d’automatisation des cycles d’achat et des commandes clients connait toujours une forte croissance de son activité mais pourrait voir ses marges s’éroder cette année avec l’inflation des salaires et les effets de changes moins favorables.
Pourtant à la tête d'un carnet de commandes record, ce leader mondial de la conception de systèmes de confinement à membranes cryogéniques utilisés pour le transport et le stockage de GNL ne cesse de baisser en Bourse pour revenir à des planchers sur un an.
La foncière a engagé un repositionnement sur de nouvelles classes d’actifs qui pénalise à court terme la croissance de ses revenus et sa capacité de distribution mais devrait porter ses fruits à moyen terme. Le titre décote de 60% par rapport à la valeur du patrimoine.
