
Vivendi est toujours porté par sa filiale de musique UMG
Les bonnes performances d’UMG militent en faveur d’un bon prix de cession et d’une revalorisation de l’ensemble du groupe Vivendi.
Les bonnes performances d’UMG militent en faveur d’un bon prix de cession et d’une revalorisation de l’ensemble du groupe Vivendi.
Comme anticipé, ce plasturgiste européen, très présent dans l'automobile, a fait état d'un premier trimestre dégradé à périmètre constant. Ses objectifs de chiffre d'affaires et de rentabilité sont pourtant confirmés. Avec des niveaux de valorisation aussi faibles et une décote sur les fonds propres, le titre est toujours aussi mal traité en Bourse.
Les efforts de développement vers la production de contenus et le digital commencent à payer et les atouts du nouveau modèle économiques ne sont pas du tout reflétés dans la valorisation du titre.
Cette affaire familiale d'ingénierie en transport maritime et aérien et en logistique overseas termine un programme d'investissement engagé en 2017. Les gains d'efficacité et d'économies ainsi réalisés devraient lui permettre de faire face à un environnement conjoncturel moins favorable et de continuer à tirer son épingle du jeu.
L’équipementier continue de prendre des parts de marchés grâce à ses solutions innovantes. Sa forte génération de cash lui permet de financer ses investissements dans la voiture du futur.
Le leader français de l'informatique officinale a dévoilé un solide chiffre d'affaires annuel. Le marché s'attendait à un peu mieux mais l'attractivité de la société n'est pas remise en cause malgré des niveaux de valorisation exigeants.
Après une année 2018 très difficile, le groupe espère rebondir grâce à un carnet de commandes bien garni et aux fruits de ses restructurations.
Cet éditeur mondial de logiciels et d'équipements de conception et de fabrication assistées par ordinateur est en train de faire évoluer son business modèle vers l'utilisation de ces solutions en mode Saas (à la demande du client). Pertinente à long terme, la stratégie pourrait dans l'immédiat peser sur les profits.
Avec une croissance organique de 29,4% de son chiffre d’affaires en 2018, Kering a été le meilleur élève de son secteur. Il devrait logiquement le rester cette année dans un contexte favorable pour ses marques.
Parfaitement en ligne avec les attentes, la publication du chiffre d’affaires annuel valide la pertinence de la stratégie et confirme l’excellente visibilité. Il n’est pas trop tard pour acheter.