Le leader européen des conduits de cheminée et des cheminées industrielles reste porté par la rénovation énergétique et le développement de ses activités bois-énergie auprès des particuliers. Après avoir profité d’un effet prix très positif le groupe va continuer de croitre grâce aux volumes. Le dossier reste bon marché.
Au plus bas depuis près de trois ans en Bourse, ce leader de la bio-analyse souffre d'une base de comparaison défavorable liée à la forte dynamique dont il a profité pendant la crise sanitaire. L'exercice 2023 devrait marquer un point bas et l'amorce d'une inflexion de tendance est anticipée à partir du second semestre. De quoi redécouvrir les vertus d'un titre au profil défensif.
Le holding retrouve une belle profitabilité et une meilleure capacité de distribution avec le retour en grâce de ses activités dans l’hôtellerie. Malgré un beau rattrapage, le titre reste faiblement valorisé au regard d’une décote encore proche de 40% par rapport à la valeur d’actif net réévalué.
Le leader français du courtage B2B en énergie entend lever 7 millions d’euros en s’introduisant sur le compartiment Euronext Growth Paris pour accélérer son développement et doubler son chiffre d’affaires en trois ans. La société a toujours été rentable depuis sa création et offre un potentiel de croissance intéressant dans le cadre de la libéralisation du marché de l’énergie.
Cet acteur de l'économie circulaire grâce aux propriétés de recyclage du verre et plus respectueuses de l'environnement est une des rares sociétés à avoir relevé dès le premier trimestre son objectif de profitabilité. Les récentes prises de bénéfices offrent des points d'entrée sur un titre raisonnablement valorisé.
Malgré un début d'année perturbé par la congestion des chaînes d'approvisionnement, le consortium européen a maintenu ses objectifs de livraison d'avions commerciaux et ses perspectives financières. De quoi réduire la décote dont souffre le titre par rapport à son ratio de valorisation de long terme.
Le fabricant d’emballages pour l’industrie alimentaire a plutôt bien amorti la hausse du prix des matières premières et de l’énergie et devrait désormais profiter de leur baisse. Malgré un environnement de consommation difficile, le titre conserve des atouts, à commencer par sa valorisation très modérée et une gestion familiale de qualité.
Le holding permettant à la famille Arnault de contrôler LVMH conserve une bonne liquidité en bourse malgré un flottant réduit à 2,5% du capital. Le titre permet de jouer les perspectives très favorables du numéro un mondial du luxe avec une décote de 17% par rapport à la valeur des actifs.
Après une année record favorisée par des prix de vente élevés, le fabricant de bois de construction et de bois énergie devrait connaitre un ralentissement cette année avant de reprendre une trajectoire positive. Le titre redevient abordable après sa baisse de plus de 50% sur un an.
Depuis le début de l’année, le holding de la famille Burelle s’est beaucoup moins bien revalorisé que ses actifs, notamment la participation majoritaire dans l’équipementier automobile Plastic Omnium. La décote de plus de 50% sur l’actif net réévalué est très excessive.
