Toujours en guerre avec l’un de ses actionnaires, le réassureur poursuit son développement et présentera un nouveau plan stratégique en septembre. L’occasion de revenir sur le devant de la scène alors que l’action apparait bon marché et délivre un rendement proche de 5%.
Le distributeur de jeux vidéo et d’accessoires a prévu de développer son activité de licences, beaucoup plus rentable. La décote boursière de 25% par rapport aux fonds propres n’est pas justifiée au regard des perspectives de forte croissance des résultats.
Son appartenance au secteur du luxe et au compartiment des valeurs moyennes a coûté cher en bourse au groupe de prêt-à-porter. La direction a pourtant confirmé ses perspectives annuelles il y a moins d’un mois. L’action revient à des cours d’achat.
L’éditeur de jeux vidéo a bien commencé son exercice 2019/2020 et semble en bonne voie pour tenir les objectifs de son plan « Bigben 2022 ». Au-delà d’une valorisation modérée par rapport à l’ensemble du secteur, le titre comporte une dimension spéculative liée à la présence de Bolloré dans le tour de table.
Le fabricant de parfums de prestige a accéléré l’allure au deuxième trimestre et s’est doté d’un nouveau relais de croissance en signant un accord de licence sur les parfums Kate Spade. Le titre est bien valorisé mais sa prime est justifiée par la bonne visibilité sur l’activité future, les marges élevées et la trésorerie pléthorique au bilan.
Le spécialiste de la mesure des ondes électromagnétiques est bien parti pour réaliser une belle année après avoir doublé ses prises de commandes au premier semestre. Le développement de la 5G lui assure des perspectives favorables pour les prochains exercices.
La société d’études et de sondages a accéléré l’allure au deuxième trimestre et confirmé la perspective d’une poursuite du redressement de ses marges. Elle capitalise seulement 8,3 fois les bénéfices attendus cette année et une fois les fonds propres.
Le numéro un mondial du petit équipement domestique a été vivement attaqué en bourse après ses prévisions de marges prudentes pour le deuxième semestre. Les perspectives restent pourtant favorables et les fondamentaux solides. L’action revient à des cours d’achat.
Le spécialiste des produits pour l’élevage du vin et des alcools a sacrifié à court terme ses marges pour prendre des parts de marché dans le bourbon. Ses efforts vont payer et laissent envisager une hausse de près de 50% du résultat opérationnel en quatre ans. La valorisation du dossier devient abordable à la lumière des fondamentaux solides.
La maison de luxe n’a pas ralenti l’allure au deuxième trimestre. Son positionnement sur le très haut de gamme et son caractère exclusif en font l’une des valeurs les plus défensives du secteur.
