Pourquoi pas. Le promoteur nous parait le mieux armé aujourd’hui pour faire face à la crise du marché résidentiel neuf. Il a su adapter son offre à la capacité d’emprunt des clients, ce qui lui permet d’afficher des réservations en hausse depuis plusieurs trimestres, qui soutiendront le chiffre d’affaires futur. Le groupe dispose par ailleurs d’une trésorerie très conséquente dont une bonne partie servira à financer le foncier du chantier du quartier d’Austerlitz à Paris, bientôt terminé. Le bilan restera sans dette après cette opération. Dans ces conditions, la politique de distribution devrait rester généreuse et le rendement du titre devrait pouvoir se maintenir autour de 7%, ce qui n’est pas négligeable.