La foncière spécialisée dans la logistique n’est pas épargné par le krach boursier. Etant donné l’importance de l’alimentaire et du e-commerce dans les débouchés du groupe, le trou d’air conjoncturel ne remet pas en cause son modèle.
Petit guide de survie à l’attention des investisseurs déboussolés ou comment faire face à la volatilité prévisible des indices ces prochaines semaines.
Face au vent de panique qui souffle sur les marchés, les investisseurs ont tendance à jeter le bébé avec l’eau du bain : ils vendent massivement des dossiers aux fondamentaux pourtant solides comme le groupe d’Emmanuel Faber. Une opportunité à saisir.
Sans surprise, les valeurs du luxe payent un lourd tribut à la pandémie de coronavirus, y compris le numéro un mondial du secteur. Mais les investisseurs oublient un peu vite que la chute de la consommation pourra être rattrapée par la suite.
Bien accueillie par le marché, la nouvelle feuille de route du laboratoire pharmaceutique fait miroiter une accélération de la croissance bénéficiaire sur les cinq prochaines années. En l’absence de nuages sur le dossier, le potentiel d’appréciation apparaît important. D’autant que le titre reste décoté par rapport à ses pairs.
Dans un contexte déprimé sur le segment des longs courriers et face aux pressions tarifaires imposées par Airbus, cet équipementier aéronautique anticipe pour 2020 un repli de ses ventes de 5% en organique, avant même l’impact du coronavirus. Des perspectives maussades qui ont fait trébucher le titre mais qui pourraient paradoxalement nourrir la spéculation.
Société discrète voir secrète, GEA n’en demeure pas moins une belle réussite. Contrôlée par la famille Zass, cette affaire iséroire spécialisée dans les systèmes de péage pour autoroutes et parkings...
Alors que d’autres acteurs de la plaisance naviguent à vue en raison de l’atterrissage brutal de la croissance mondiale, tel n’est pas le cas de ce fabriquant de catamarans, bien armé pour poursuivre son développement au regard d’un carnet de commandes et d'un bilan solides.
Fort d’un bilan extrêmement sain, le groupe de médias et de divertissement poursuit ses rachats d’actions tout en bichonnant ses actionnaires. Les perspectives florissantes de sa filiale musicale justifient à elles-seules la valorisation actuelle du dossier.
Ce spécialiste de solutions informatiques pour le commerce et de bornes interactives vient de remporter un beau succès à l’international. De quoi alimenter un flux de nouvelles plus positif pour le groupe après un exercice 2019 à oublier.
