Malgré une conjoncture moins porteuse, le spécialiste du conseil en management et des services numériques a maintenu une croissance à deux chiffres de ses ventes tout au long de l’année 2023. Le dossier reste abordable si l’on tient compte du trésor de guerre de 260 millions d’euros au bilan qui représente un quart de la capitalisation boursière.
Le spécialiste des services d’imageries pour l’étude du sous-sol confirme trimestre après trimestre sa capacité à redevenir durablement profitable au-delà des variations de cours du pétrole. Le cash-flow libre va lui aussi redevenir positif et permettre le désendettement, ce qui n’est pas du tout intégré dans la valorisation boursière.
Pour se redonner une marge de manœuvre financière dans un marché de l’immobilier neuf à l’arrêt, le promoteur immobilier va céder ses activités de gestion au groupe de capital investissement Bridgepoint pour 440 millions d’euros, ce qui permettra de réduire la dette de moitié.
La compagnie aérienne entend profiter de la reprise du trafic aérien pour augmenter ses revenus tout en poursuivant la baisse de ses coûts avec un objectif d’amélioration de 2 milliards d’euros du résultat opérationnel sur cinq ans qui n’a rien d’évident.
Le groupe de médias tire son épingle du jeu aussi bien dans la radio que dans la télévision grâce à de bonnes audiences. Malgré ls incertitudes sur la conjoncture, la base de résultats reste solide grâce à la bonne rémunération de la trésorerie qui représente la moitié de la capitalisation boursière. Le groupe reste en outre une cible de choix dans le secteur.
Lors d’une journée consacrée aux investisseurs, le leader mondial du petit équipement domestique confirme la poursuite d’un bon niveau de croissance pour les prochaines années dans ses deux segments principaux que sont les articles grand Public et les équipements pour professionnels.
Le patron de ce groupe de maisons de champagnes nous expliques les enjeux auxquels est confronté le secteur ainsi que sa stratégie de valorisation qui permet de défendre les marges.
L’équipementier automobile retrouve un niveau de rentabilité satisfaisant lui permettant de dégager à nouveau du cash et va pouvoir s’attaquer à sa dette qui reste son point faible.
Le producteur de bois pour la construction et de bois énergie subit le contrecoup de deux années de forte croissance et devrait encore souffrir sur le prochain exercice de la baisse du marché de la construction. Il conserve toutefois des fondamentaux solides et faiblement valorisés par les marchés.
La société de conseil et de services numériques a confirmé ses objectifs annuels malgré un ralentissement de sa croissance au troisième trimestre. Elle a noué un partenariat prometteur avec Thales et Google pour la création d’une plateforme d’intelligence artificielle dans le cloud et reste faiblement valorisée par rapport à des concurrents comme Capgemini.
