La qualité des fondamentaux de ce leader européen des métiers de la construction et des concessions n'est pas reconnue à sa juste valeur. Le titre vaut moins de 10 fois les profits. Un retour à ses records pré-covid de 111 euros serait mérité.
Cet acteur du secteur de l’énergie bois qui profite d’une forte demande pour les granulés en bois s’achemine vers un excellent millésime 2021/2022. Attention toutefois aux effets de base sur le prochain exercice !
Révélation du dernier millésime, le titre Publicis a terminé sur un léger gain. Le parcours récompense la transformation de cette troisième agence mondiale de communication moins sensible au cycle économique et plus rentable. Sa valorisation demeure très attractive avec un très beau rendement à la clé.
Freiné par les pénuries de composants électroniques et l’inflation des matières premières, l’équipementier automobile a vu ses marges fondre comme neige au soleil en 2022. Si des difficultés persisteront cette année, l’accélération de la croissance doit permettre un net rebond des profits.
Après avoir bouclé un dernier exercice très correct malgré les nombreux défis, ce spécialiste mondial des infrastructures électriques et numériques du bâtiment devrait connaître une année plus contrastée. La valorisation titre revenue à 17,9 et 18,1 fois en tient compte.
L’équipementier aéronautique s’achemine vers une quatrième année de perte consécutive et peine à générer du cash malgré la reprise du marché de l’aviation civile. La situation tendue du bilan incite à la prudence.
Très (trop) sévèrement massacré pendant une bonne partie de l'année 2022, le titre de ce leader européen du camping-car s'offre un rebond d'environ 36% sur les trois derniers mois. Le titre demeure bon marché et le groupe a rassuré sur sa visibilité.
Le spécialiste du dépistage et des diagnostics profite de la dégradation de la situation sanitaire liée à la réouverture des frontières chinoises. Le titre n’est pas cher, mais la société va devoir gérer l’après-covid.
En ce début de nouvelle année, l'usage veut d'établir des projections. Alexandre Hezez, le stratégiste de Banque Richelieu, nous livre ses perspectives.
Massacré l'an dernier en Bourse à la suite de la sortie voilà un an d'un livre à charge contre la société et le secteur de la prise en charge de la dépendance, le titre profite en ce début du mois de janvier de rachats à bon compte et de débouclement de positions de vente à découvert. Très politique, le dossier reste risqué face à une nouvelle direction prête à employer tous les moyens pour faire le grand ménage. Au mépris des actionnaires actuels.
